Comme annoncé nous nous retrouvons pour partager quelques nouvelles et quelques textes à lire.

Nous évoquions dans notre précédente Epître l’ étymologie du mot « religion » ; avec une double explication. Elle proviendrait soit de religare ( relier)soit relegere ( relire) . Relier; c’est à dire se relier les uns aux autres au travers du lien premier avec Dieu Une dimension qui fait sens tout particulièrement en cette période de confinement durant laquelle nos liens habituels sont bouleversés. Relire : la période du confinement est aussi un moment favorable pour relire nos vies, notre passé , notre présent à la lumière de ce livre de la Bible, à relire aussi ! . Un temps autre au cours duquel nos repères habituels sont bousculés. L’occasion de relire, de reconsidérer nos choix, nos orientations, de regarder à l’essentiel à la lumière de l’Evangile. Tout en étant seul et en lien avec d’autres !C’est que nous faisons à travers cet envoi par mail. Vous proposer des textes de réflexions et de prédications pour » relire » le monde , nos vies tout en relisant les textes bibliques……
Texte d’exhortation lu au culte du 15-11
Surprenante prédication prophétique que ce passage du livre du pasteur Martin Luther King: « Où allons-nous ? » dans lequel il commente le sens étymologique du mot crise : décision, jugement.
Malgré les tensions et les incertitudes de notre temps il se passe des choses profondément significatives :
De vieux systèmes d’exploitation et d’oppression sont envoie de disparition ;
et, du sein d’un monde fragile naissent de nouveaux systèmes de justice et d’égalité.
Les va-nu-pieds de la terre acquièrent un sentiment nouveau de leur propre existence
et ils se creusent un tunnel d’espérance dans la sombre montagne du désespoir.
Il est vrai que l’optimisme facile d’hier est devenu impossible,
mais dans toute crise, il y a à la fois un danger et une chance à saisir.
Sur la liste de nos espérances la première est que
L’AMOUR AURA LE DERNIER MOT.
Confiance ( en écho avec la prédication du 15-11)
Mon enfant,
Quand tout semble perdu pour toi
Tourne-toi vers moi, ton Dieu et ton père.
Dis-moi: Père, j’ai confiance en Toi
Je crois en Toi.
Mon enfant,
Quand l’amertume envahit ton cœur
Crie ta douleur à moi, ton père
Dis-moi: Père, j’ai confiance en Toi
je me confie à Toi.
Mon enfant,
Quand l’échec frappe à ta porte
N’hésite pas un seul instant
Quelle que soit l’heure
Viens frapper à ma porte
Mon enfant,
Quand la solitude devient insupportable
Ouvre-moi ton cœur
Je viendrai y demeurer
Je veux être ton ami fidèle.
Tu es mon enfant, mon préféré
Je n’ai d’yeux que pour toi
je veux le meilleur pour toi
Mets-moi au cœur de ta vie
Texte poétique envoyée par une paroissienne.
« Bal des arbres »
Le grand cèdre du Liban majestueux et autoritaire mène la bande
Un peu inquiétant quand il frémit ou se tord sous le vent
Derrière un brasier de feu décoratif de théâtre d’arbres plus sages
On est perpétuellement attiré , magnétiseurs.
À gauche le saule pleureur un peu faiblard aurait besoin de magnésium!!
Lui aussi danse et se balance
Sous le soleil il pleure des gouttes d’or
Puis plus loin un arbre trapus
Beau avec ses dernières feuilles jaunes devient costaud des Batignolles
Ses branches noires touffues
Il regarde la mosaïque du bassin ou seule apparaît une jolie mosaïque pointe de gaîté car le petit jet d’eau s’est mis en hibernation
Plus loin 2 grands pins finalisent le paysage.
Voilà pluie vent Heureux sont qui ont un toit bien que parfois…..
Alors à tous bon dimanche et continuons la route
C.K